Dans cette pétition, les bouchers se plaignent auprès des consuls du montant des taxes qui s’élèvent à 20 deniers pour la livre de viande de bœuf et à 32 pour celle de mouton.
Ils forment à Figeac un groupe économiquement important et très organisé. Ils sont tous regroupés dans des mazels (halle à boucher) qui appartiennent à la ville et doivent verser une taxe sur la viande.